Nous, les enfants de la diaspora ...
Nous, les enfants de la diaspora sommes des cœurs voyageurs, emportés au grès des passions et des études.
Nous quittons nos familles tôt (peut-être trop) pour vivre l’aventure estudiantine dans des contextes tellement distants de nos habitudes et, chaque décembre, une fois rentrés de vacances nous reprenons nos ailes pour des destinations hivernales où, une fois de plus, nos cœurs sont tristes à en faire ruisseler des larmes..
Nous vivons la distance avec beaucoup de bravoure, d’amour certes mais de chagrins aussi... Et puis, il y a bien un jour, où notre ville adoptive devient un peu la maison. Elle devient familière, nous offre beaucoup et nous apprend tant. Et lorsqu’il est l’heure de rentrer chez nous, ce même sentiment de déchirure que nous avions à l’arrivée se fait dans le sens inverse. On se rend compte de notre histoire... Les places fréquentées, les seconds amours, les anniversaires, les tops spots et surtout le sentiment qui nous est laissé dans le cœur.
Ces villes si différentes des nôtres sont devenues « la famille » et là, nous nous retrouvons dans les mots de Joséphine Baker « j’ai deux amours, mon pays et Paris »...
Nous les enfants de la diaspora, sommes des cœurs voyageurs... et au fil du temps, c’est pris dans les bras, que nos villes d’adoption, font de nous leurs nouveaux enfants...
Merci Paris d’être la même chaque année à mes yeux. Un peu plus aimante, un peu moins étrangère...
Nous quittons nos familles tôt (peut-être trop) pour vivre l’aventure estudiantine dans des contextes tellement distants de nos habitudes et, chaque décembre, une fois rentrés de vacances nous reprenons nos ailes pour des destinations hivernales où, une fois de plus, nos cœurs sont tristes à en faire ruisseler des larmes..
Nous vivons la distance avec beaucoup de bravoure, d’amour certes mais de chagrins aussi... Et puis, il y a bien un jour, où notre ville adoptive devient un peu la maison. Elle devient familière, nous offre beaucoup et nous apprend tant. Et lorsqu’il est l’heure de rentrer chez nous, ce même sentiment de déchirure que nous avions à l’arrivée se fait dans le sens inverse. On se rend compte de notre histoire... Les places fréquentées, les seconds amours, les anniversaires, les tops spots et surtout le sentiment qui nous est laissé dans le cœur.
Ces villes si différentes des nôtres sont devenues « la famille » et là, nous nous retrouvons dans les mots de Joséphine Baker « j’ai deux amours, mon pays et Paris »...
Nous les enfants de la diaspora, sommes des cœurs voyageurs... et au fil du temps, c’est pris dans les bras, que nos villes d’adoption, font de nous leurs nouveaux enfants...
Merci Paris d’être la même chaque année à mes yeux. Un peu plus aimante, un peu moins étrangère...
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